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| Quand la philosophie et la débilité se rencontrent | |
| Auteur | Message |
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Ouroboross DiscipleFiction
Age : 30 Nombre de messages : 540 Gold' Fic : 0 Localisation : Behind you baby !! Emploi/loisirs : Lycéen. Geeking et Musique =DD Humeur : Et ca recommence... ==> T.T Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Quand la philosophie et la débilité se rencontrent Lun 29 Sep - 20:07 | |
| Bonjour à tous
Alors je dois dire que je suis assez surpris que personne n'ai encore post une de ses créations alors voilà, en tant que Modérateur il me faut montrer l'exemple que voici
Malheureusement ce n'est pas un fanfic donc pas d'histoire en rapports avec les mangas T_T (ou pas ?) à vous de trouver la subtilitée stupide dans ce texte
Par contre je ne veux pas etre rendu responsable des déformations de ce texte =S Lisez de haut en bas et normalement tout ira bien xD
Titre : Quand la philosophie et la débilité profonde se rencontrent
Personnages : Shinji, Bernard, Nami, Hidetoshi, le sergent, le prof, les autorités locales, le gars qui a le rôle du lampadaire n°34, le sot Leil.
Résumé : Laehsuhalesshinatuelcauneehputuilvouapteet.. (pas facile de compresser tout le texte).
Acteurs : Vincent Times (Moustik) et Vaux Kedall (la pysychopathe rousse, à ne pas confondre avec rusé)
Acte 1 :
La rue était encore brumeuse, les lueurs des différents lampadaires alignés latéralement perpendiculaires à la tangente du rond point situé au bout de cette même rue se faisaient à peine deviner au travers de ce brouillard dense, voire nuageux. C'est alors qu'au détour de l'opposé du rond point c'est-à-dire l'autre bout de la rue, surgit un jeune homme (je vous laisse le soin de vérifier). Son nom : Shinji Godaño, sa profession : touris... euh, élève. C'était la rentrée des classes ce matin, et il devait passer par cette rue nuageuse pour parvenir à son établissement scolaire. C'est pour ça qu'il s'couait l'air car dans cette nuée de gouttelettes, il n'y voyait goutte, c'est un comble. Donc, la tête dans les nuages, il ne pensait plus qu'à une seule chose. Rentrer chez lui. Mais la malchance voulut que malgré sa bonne volonté à retrouver le chemin de sa maison, il ne trouva que celui de son lycée. "Saleté de brouillard, tu ne manques pas d'air !", rageait-il intérieurement, avant de se rendre compte qu'il y avait effectivement un "r" à "brouillard". Il rencontra alors Bernard Uto, son meilleur ami, qui l'interpella :
- Eh, salut Shinji ! Mais tu as oublié ton manteau !
- Non.
- Comment ça non ?
- Tu vois que je ments tôt.
Sur ce, ils se rendirent devant le bâtiment, et les autorités locales vinrent à leur rencontre, le sergent Tillet clama alors :
- Ha ha, je savais bien que vous vous rendriez un jour ou l'autre ! Même devant le bâtiment !
- On a rien fait m'sieur.
- Si, vous avez mis des chaussettes.
- C'est passible d'une arrestation ça ?
- Non, c'était juste pour vous contredire, allez, filez ou vous allez être en retard.
- C'est malin...
- Oui c'est mal, hein ?
- Comme vous dites, sergent...
Les deux compères entrèrent dans leur lycée, et arrivèrent à rejoindre leur classe qui n'était pas encore entrée en cours. Vint ensuite à leur rencontre une jeune demoiselle, cheveux tombant jusqu'aux genoux et mini jupe d'écolière, elle incarnait la banalité.
- Shinji, youhoooou.
- Eh, euh... Nami c'est ça, je crois que tu Nami tes chaussures aux bon pieds.
- Euh... oh, c'est le pied.
Nami avait en effet sa chaussure droite au pied gauche et vice-versa.
- Tu as un truc à me dire ?
- Euh... oui, tu sais, j'ai quelque chose au plus profond de moi... et... il faut que ça sorte.
- Ah, bah je ne sais pas moi... va aux toilettes ? Tu as peut-être mal digéré ton p'tit dej.
Elle qui ne pensait qu'à faire des choses avec lui, elle versa une larme. Finalement, le vice versa. Après cela, tous rentrèrent en classe.
- Ca y est, nous sommes de nouveau en classe... , soupira Shinji.
- C'est pas classe. , ajouta Bernard.
- Si justement, mais pour une fois c'est embêtant.
- Oui, c'est pour ça que le lycée est solide.
- Embêtant j'ai dit, pas en béton.
- C'est vrai qu'on est souvent en salle B, on est en B tant.
- Laisse tomber...
- Ok.
- Aïe ! Pas sur mon pied crétin !
Une fois que le professeur avait donné les infos, les emplois du temps etc., nos deux cons pairs s'en allèrent dans le couloir. Soudain, Hidetoshi Koré vint les voir :
- Eh, Bernard, t'as pas une clope ?
- Hmm ? Si.
- Ok.
Puis il s'en alla. Après quoi ils virent passer Nami qui pleurait encore.
- Tu rates peut-être quelque chose non ?
- Non, ce n'est qu'une Nami à moi, sans plus.
- Mais si Plus était là ?
- Dans ce cas j'aviserais...
- N'est bon que ce qu'on aime.
- D'ailleurs tu m'en passes un ?
- Tiens, ils sont à la viande.
Et ils restèrent là à manger des nems pendant une bonne heure. Puis en se dirigeant vers la sortie, ils croisèrent de nouveau Hidetoshi.
- Vous partez ?
- Oui… Comme on est repu !!!
- Vous ne sentiez déjà pas très bon avant alors là... si ton nez repue.
- Ultra-combo-deubeul-hit !
- Aïe, tu m'as cassé un ongle, ouiiiin...
- C'est parce que tes idées sont trop ch...
- Eh, la censure..
- Oui, sois-en sûr.
- Et si tu as froid, ne sois pas sans chaussures.
Après cette leçon de morale, ils laissèrent le pauvre bougre, et se séparèrent pour rentrer chez eux. Ils se tinrent les mains avec un coucher de soleil luisant en arrière plan. Le petit blond au cheveux long(et ça rime!),aux yeux bleus plein de larmes, regardant le grand brun au yeux encre(que c'est guimauve ! oui je sais que c'est un peu tard pour les description mais...),une musique d'adieu au violon. Le gars qui a le rôle du lampadaire n°34 alluma le ventilateur pour faire le vent de la plage, mais il fut si fort pendant quelques secondes, que toute les jupes des filles a cinquante mètres volèrent.
- Te reverrai-je ?
- Je ne sais, il est des choses indescriptibles en ce monde.
- Quel est le rapport ?
- Et bien c'est une espèce hybride mêlant un rat et un porc non ?
- C'est bon en nem ?
- Faudra essayer...
- Allez, à demain.
- Tu devrais rentrer sur deux pieds plutôt, c'est plus simple.
- Ok, sale U.
- Sale T.
Et Shinji prit le chepied (on peut dire chemin en + français) de sa maison, passant par la rue qui n'était plus nuageuse mais nue tout court. Il rentra donc du lycée et lu ses livres lissés sans plisser ses yeux, se laissant dans son lit, lassé de sa journée... |
| | | Ouroboross DiscipleFiction
Age : 30 Nombre de messages : 540 Gold' Fic : 0 Localisation : Behind you baby !! Emploi/loisirs : Lycéen. Geeking et Musique =DD Humeur : Et ca recommence... ==> T.T Date d'inscription : 01/09/2008
| Sujet: Re: Quand la philosophie et la débilité se rencontrent Lun 29 Sep - 20:09 | |
| Acte 2 :
C’était la 2nde journée au lycée (toujours avec ses bouquins lissés un peu plissés car Shinji les lisait sans pissé, euh plissé des yeux), la rue était encore brumeuse, les lueurs des différents lampadaires alignés latéralement perpendiculaires à la tangente du rond point situé au bout de cette même rue se faisaient à peine deviner au travers de ce brouillard dense, voire nuageux. C'est alors qu'au détour de l'opposé du rond point c'est-à-dire l'autre bout de la rue, surgit un jeune homme (je vous laisse le soin de vérifier). Shinji qui ce leva tôt ce martin…
(voix étouffée) « MATIINN !!! » Oups. …Pour attendre son pote Beber qui l’attend habituellement devant l’école (K, la salle principale des é’ collés, à ne pas confondre avec la salle H, la salle de vente principale des colliers) :
- Yeah men ! s’écria Uto
- Les miens avez un goût ce matin… POUAAH !!
- J'ai bobo a la tête!
- Pourquoi?
- J'ai trop réfléchit
- J' t’avais dit que tu faisait trop de sport!
- Laisse béton..
- Non! moi c'est Bernard!
- Bon on rentre en cours ? Ca va bientôt sonné.
- Bon si tu veux mais alors on court pas trop vite, je me suis tordu la cheville en rentrant de chez moi hier soir.
Après leur très intéressante discussion, ils se décidèrent a pénètrer dans l'établissement plus tôt que les autres, faudra pas s'étonner si on les traitent d'éjaculateurs précoces. ils se dirigèrent vers la salle A.
- On est dans une classe d'ahuris...
- C'est vrai qu'il y a beaucoup de hures en classe A.
- ...
Mais le Sergent Tillet les attendait toujours pour pouvoir les rabaisser :
- Ha ha… Encore vous, vous êtes pris la main dans le sac.
- On prend nos livres monsieur le sergent.
- Bon, entrez.
Sur ce, ils mirent (‘faux faire gaffe, eux quand ils mirent, ils mirent) leurs sacs sur leurs dos pour retrouver leurs salle de classe (Qui n’était pas très propre) .
Shinji commença a peine a trouver que les jeux de mots de son ami commençaient a être a chier, raison pour laquelle il se précipita aux chiotte. En sortant il passa sous une échelle, et cassa un miroir, puis s'éclata la face sur le sol en un bruit sourd, c'est pour ça que personne l'a entendu. la journée commençait bien, faisant rentré dans la salle accompagne (BUT !) part les ber-anges, qui tournait autour de sa tête déguisé en boniches, en danseuses de cancan, ou carrément en tutu rose. Non mais qui est le imbécile qui a eu l'idée d'écrire ça !je suis un narrateur de luxe moi ! Pas une mouche de série Z !
- Hé ! On te dérange pas ? Arrête de raconte ta vie et raconte la notre!
- Y'a pas d' rats pourquoi ?
- Pauvre Shinji... complètement sonné !
- Ding dong!
- Regarde moi ce imbécile!
- Ce sont des images terrible commandite en direct, ici dans l'école de basket crazy gozu.
- Ha non ! Ici c'est crazy tout cour!
- Vous n'étés pas hitonari hiiragi et akane tachibana?!
- Ou ca la tache de banane ? Shinji est visiblement toujours sonne.
- Non c'est pas nous...
retourne aux gignoles ! T'es nul ! A vous les studios ! c'est ainsi que Patrick poivre d’Arvor se fit vire a coups de pompes (merci Mme Bracq!) de l'école crazy tout court. Donc, revenons à nos biquettes. Nos deux amis prirent place dans la salle, qui etait crade et pleines de hures avec des têtes d'élèves, tableau de chasse du professeur du physique encore plus psychopathe que la psychopathe rousse (c'est moi!), au moins un de qui on écoute les cours, mais ça c'est une autre histoire.
Nami était assise, seule, souriante, attendant la compagnie d’un garçon qui lui remonterait son morale qui est déjà si élevé, marqué par un regard vague et triste mais surtout rêveur de si belles choses moches, qui aurait marqué la superbe vie d’un plus jeunes.
Shinji s’assit sur ses côtés
- AÏEUUH
- J’ai dit sur ses côtés, pas sur ses côtes
- Autant pour moi
- Tient ! (Il s’assit sur les côtes de ce mec qui apparemment joue le rôle de Nami)
- NAANN, je disait ça pour m’excuser, autant pour moi, ça veut dire je m’excuse en quelques sortes.
Bon, on reprend :
- Salut. Dit Nami avec son plus beau sourire déprimant qui vous sape le morale en moins de 2.
- Yo !
Voilà ce qui fut leurs conversation pendant tout le cours de latin. Hidetoshi sortit en dernier de la salle de classe car il avait dit au prof (ou plutôt rappeler) qu’il était un dingue des Alpes, ce qui pour moi, n’était pas forcément faux :
- Mais non, je ne vous ai pas traiter de dingue des Alpes… je
- Ce n’ai pas ce que j’ai compris mon cher. J’ai un ami qui est boucher je ne le suis pas encore.
- Bah ça nous aurait pas manquer…
- Oulala… ça s’aggrave !
- Non monsieur, je n’ai pas dit dingue des Alpes, je parlait de la géographie et je disais DIGUE des Alpes, et puis non je n’ai pas d’agrafes.
- Je préfère ça mais qui te permet de revoir ta géographie en latin, hein ? Et que viennent faire les pygmées en géographie hein ?
- Laissez tomber.
- D’accord.
Il laissa s’écrouler ses livres, ses cahiers, mais aussi le cahier de texte de la classe et aussi sa trousse sur les pieds de Hidetoshi.
OUAAÏÏÏEUUH !!!!!!!!
Mais le pire restait a venir, lors de la récré, on nous appris (parce qu’il pleuvait) une nouvelle capitale :
- Chers enfant, voilà un élève qui nous vient tout droit de France, (mais attention, il connaît aussi les droits de l’homme) mais il est venu ici car il a eu quelques problèmes, on lui donnait des surnoms de mauvais goût moi personnellement, je n’ai encore jamais goûter.
- Ouaaa hahahaha wahahaha !!!!!
- Oyez oyez, s’il vous plaît, il s’appelle Jean, Jean Bonor, faites en sorte qu’il se sente bien ici.
- Oh yeaah !!Oh yeaah !! fit Hidetoshi
- Mon dieu quelle bande de trouducul pensa jean
- Pitié pas le coup du Jean Bono, s’il vous plaiit !! pensa Jean
- Hahaha, Jean Bonor, il a une jambe en or !!! hahahahaha
- Oh non, pitié, noon
Ce fut l’heure de la bouffe (moi je dirait que c’est leurs bouffe, passke c’est plus français, mais enfin…) Nami et Shinji étaient encore côte à côte, SANS COMMENTAIRE :
- J’ai toujours ce truc, au fond de moi, qui ne me quitte plus, j’ai toujours ce nœud dans mon ventre…
- Ca doit être ton intestin grêle qui ce noue
- Oui, justement nooouuuus…
- Bah, te fait pas de bile.
- Elle arrive !!!
- Mais de qui ???
- Mais c’est moi qu’il faut aider…
- Il faut voter des quoi ???
- Bah te fait pas de bile.
- Ne dit pas ça je me fais un sang d’encre pour toi
- Garde ton sang froid
- T’inquiète, je garde mon sang pour moi.
Ils se séparèrent tels 2 grosses cruches incapables de se parler en face (c’est dire a quel point ils sont tarte… mais tarte…)
Puis se fut le cours de musique ou Hidetoshi et Bernard firent leurs exposés :
- Nous allons, sous vos yeux épanouis… euuh… un peu endormis (putain la riiiime), réalisés un exposé sur Beethoven et sa vie, commenta Hidetoshi. Je laisse commencer mon camarade.
- Hum hum… LOUIS VAN BEETHOVEN (prononcé bite au vent dans la pièce), musicien Italien je crois, enfin bon… Il est né à BONN (prononcé Bonne dans la pièce)hum hum, en en 1770, et est mort à VIENNE (prononcé vient dans la pièce) en Autruche euuh Autriche en 1839, ce qui fait une durée de vie de 69 ans… hum… euuh…
- Une de ces dites « chansons » est le 6ème mouvement de la 9ème symphonie en ré majeur…
qui s’intitule « l’hymne à la joie ». Oulah euuh…
- Les grands mouvements de cette symphonie très m… connue sont : un début tout doux en pianissimo puis on remonte vite et fort en fortissimo puis tout redevient calme comme un orga…
- …nisme très curieux qui apparaît.
- Une voix en solo d’homme intervient et pose une sorte de question mè euh mélodieuse à laquelle répond cette bande de trou… euh… troubadour. Hum hum
- Puis après, le trio, une femme et son compagnon…
- J’EN AI UN PEU SI TU VEUX !!!
- Non, compagnon pas imbécile pognon !
- Bon poursuivons, une femme et son comPAGNON arrive : le trio. Je rappelle il y a une femme…
- …Et 2 mecs…fit beber
- mais tu va la fermer oui ?
- Ohlala, si on peut plus rigoler.
- Puis le soliste reprend et repose une de ces questions à laquelle rerépond…
- ALLOOO ???
- Mais… MAIS, fit le prof.
- Laissez monsieur, laissez
- … le chœur. C’est la fin… Alors ???
Puis tout le monde dans la classe (sauf le prof) : Wèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèh Youhou
Pour Shinji, c’était le plus bel exposé de toute sa vie. Mais il n’avais encore rien vu…
- Oh, s’il vous plaît restez calmmmmme… fit Mr. Beauty Case.(le prof de musique) Il va falloir maintenant que l’on passe à « place à l’artiiisteee » (c’est le truc débile qui fait en sorte que tu prend la plus belle honte de ta vie rien qu’en essayant d’entonner un truc qui ressemblerait peut-être a de la musique si on avait une oreille si fine qu’elle nous permettrait d’entendre les sons en MP3…), malheureusement, il ne nous reste plus beaucoup de temps, avec cet exposé, làààà… pfff, soit seulement 2 élèves pourront passéééééééé.
- Yes seulement 2 élèves yahou !!!
- Je vous ai entenduuuu Mr. Bonooooor, d’ailleuuuurrrrs, je ne vous accorderai paaaas le bonheuuurrr..
- Non Mr. S’il vous plaît pas de blague
- Tu chanteras l’olivier de Amel Bent…
- Présent !!!!!!
- Mais non, mais non …
- POUWAHAHAHAHA
- ssss’il vous plaaaaîîît, Jean… tu passeras en 1er…
- Oh non
Shinji n’y croyait pas, c’était trop beau tel qu’il le chantait :
- Qui rencontra l’olivier
Ou sont passés les gens que j’ai aimé
Qui trouv’ra le chemin de ma maison…
- Très bien mon petit Jean… 10/10
A ce moment la, en classe, ils se la sont bouclés… (mais y a 1 frisé aussi dans leurs classe)
- Bon, puisque tu ne suit pas, à toi mon cher Shinji en faite, je m’était endormi.
- Hein ??? Quid ??? euuuh…
- Et meeerdeeu, je vais me taper la honte, gromela-t-il intèrieurement…
Qui rencontra Olivier ?
Ce serait pas le mec que j’ai buté ?
Qui trouv’ra le chemin de la prisoon ?
Mais où sont donc passé tout ces bouffonnnn-onnns ?
- Euuh mon cher, vous méritez l’asile… Mais enfin 0/10
- ARF ARF ARF ARF ARF, fit-il
- Je ne rigole pas…
- A merde.
- DEEE-HOOOOOOORS, et je ne rigole pas.
- Mais pourquoi ???
- Tu devrais nettoyer tes chaussures
- ARF ARF ARF. Fit-il en prenant le chemin de la porte.
Et c’est comme cela que ça se passa juste avant de voir passer la même échelle que la dernière fois, celle grâce à laquelle il cassa un miroir, puis s'éclata la face sur le sol en un bruit sourd, c'est pour ça que personne l'a entendu. la journée commençait bien, faisant rentré dans la salle accompagne (BUT !) part les ber-anges, qui tournait autour de sa tête déguisé en boniches, en danseuses de cancan, ou carrément en tutu rose. Non mais qui est le fou qui a eu l'idée d'écrire ça !je suis un narrateur de luxe moi ! Pas une mouche de série Z !
Merde, j’en ai mis un peu trop la…
En rentrant, chez lui, Shinji toujours accompagné de son pote Bebière… euh… Beberd, se tenant la main sur un couché de soleil avec le mec qui a le rôle du lampadaire n°18… euh… 34… Bref, ils croisèrent le sergent Tillet qui faisait traversé des gens pas tillet du tout mais plutôt chiants a souhait a s’en foutre la main dans le cul de la concierge et se la léché sans se l’avoir lavé avant. Bref ces chers gens adorables tous autant qu’ils sont, les regardèrent un nez collé contre la vitre le sourire aux lèvres l’air de dire : Que font ces foutus gamins dans cet accoutrement ridicule ?
Ces gamins-dans-cet-accoutrement-ridcule regardèrent a leurs tour les gens chiants-a-souhait-a-s’en-foutre-la-main-dans-le-cul-de-la-concierge-et-se-la-léché-sans-se-l’avoir-lavé-avant, lorsque le sergent les regardèrent d’un air… euh… ben… d’un air d’autoroute, semblant vouloir dire, sortez moi de là lorsqu’une personne chiante-a-souhait-a-s’en-foutre-la-main-dans-le-cul-de-la-concierge-et-se-la-léché-sans-se-l’avoir-lavé-avant sortit bel et bien de la avant de lui faire remarquer que le feu était vert et que s’il ne les faisait pas avancé d’ici deux ou trois minutes, tous les gens chiants-a-souhait-a-s’en-foutre-la-main-dans-le-cul-de-la-concierge-et-se-la-léché-sans-se-l’avoir-lavé-avant lui collerai un gros coup de pied dans son cul-a-la-imbécile-qui-ne-bouge-pas-pour-faire-bouger-les-tillets-gens et qui a son tour, il aurait le feu ( rouge celui-ci, pas vert ) au cul-a-la-imbécile-qui-ne-bouge-pas-pour-faire-bouger-les-gentils-gens.
- Alors tu viens demain en cours ?
- Ouai mais pas en cours. Ant
- Haha… elle est naze
- Merci beaucoup de ton compliment p’tit imbécile
- Mais de rien méchant
- Allez a demain trouduc
- Ouai, et surtout va te faire foutre !
- Merci tarlouse.
Hum… Sur ce chacun rentra chez lui sans demander quoi que ce soit a qui que ce soit, et Shinji Godaño repassa la rue encore brumeuse, avec les lueurs des différents lampadaires alignés latéralement perpendiculaires à la tangente du rond point situé au bout de cette même rue et qui se faisaient à peine deviner au travers de ce brouillard dense, voire nuageux. Et comme chaque soir il lit ses bouquins lissés un peu plissés car Shinji les lisait sans plissé des yeux sur son lit plissé ou il dormait les paupière pissés… euh pliées… euh plissées… euh… Oh et puis merde ! |
| | | Zéphira Admin & Fondatrice
Age : 113 Nombre de messages : 6114 Gold' Fic : 769 Localisation : Entre les lignes. Emploi/loisirs : Lecture. J'ai changé de sexe. Humeur : In Cruce Figaris. Mangas favoris : Code Geass. Préférence : En quoi donc ? Date d'inscription : 30/08/2008
Caractéristiques Personnage: Zéphira Statut: Impératrice Profession : Chevalier de la table hexagonale
| Sujet: Re: Quand la philosophie et la débilité se rencontrent Lun 29 Sep - 21:21 | |
| J'ai pas tout lu ^^' Mais ca viendra! Sinon je trouve qu'il y a un probléme: la prise de parole, on ne sait pas qui parle quand ... Parfois je me demande d'ou tu les sors tes jeux de mots >.< Coco, t'as touché le fond mais tu creuses encore! xD Plus sérieusement, je trouve le début vachement sympa, ca fait sourir. ^^
Enfin ca reste un peu spécial mais j'aime bien xD |
| | | Keysa DiscipleFiction
Nombre de messages : 523 Gold' Fic : 0 Localisation : Là où je suis Humeur : Chevelue Date d'inscription : 31/08/2008
| Sujet: Re: Quand la philosophie et la débilité se rencontrent Lun 29 Sep - 21:46 | |
| Comme a dit Xok...C'est spéciale ^^'
Je me sens un peu stupide parce que j'ai perdu le fil assez rapidement...
Un jour, je prendrais le temps de déchiffrer ton oeuvre !
PS : VIVE LE VIOLET !!!!!...--' |
| | | Ouroboross DiscipleFiction
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| Sujet: Re: Quand la philosophie et la débilité se rencontrent Jeu 2 Oct - 20:21 | |
| OUAI VIVE LE VIOLET ! (je vous excuse moi même je ne les lit que par bout je suis trop occupé a me pisser dessus x) no sérieux c'est juste un ensemble de ramassis de con****** qui forment des phrases et un texte... Pour ce qui est des prises de parole c'est un peu confus parce que ce c** de forum (que j'adore hein ^^') déforme ma mise en page... je vais peut etre vous filer un lien ou vous pourrez le DL... boh quouakilensoua, vous le lirez un jour xD |
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| Sujet: Re: Quand la philosophie et la débilité se rencontrent | |
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| | | | Quand la philosophie et la débilité se rencontrent | |
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